Face à la Gen Z, le Gl Ruphin Fortunat Zafisambo bombardé PM :  Mission impossible : 6 mois pour sauver le soldat Rajoelina 

Face à la Gen Z, le Gl Ruphin Fortunat Zafisambo bombardé PM :  Mission impossible : 6 mois pour sauver le soldat Rajoelina 

Face aux manifestations qui perdurent depuis presque deux semaines et ce malgré le limogeage du gouvernement et du premier ministre dans la foulée, Andry Rajoelina a décidé de monter d’un cran dans son désir de rester au pouvoir en entendant les « Miala Rajoelina » !

 

Il a bombardé le général Ruphin Fortunat Zafisambo premier ministre. Mission impossible d’ici 6 mois : rétablir l’ordre, en clair faire cesser les troubles des émeutiers de l’électricité et de l’eau portés par la Gen Z. Si Zafisambo bénéficie d’un préjugé favorable dans l’armée, il n’en est pas de même au sein de ce mouvement diffus et puissant qui écument les rues de Tana. Ces jeune, nés entre 1997 et 2008 qui veulent dégager l’élite, trouvent justement en cet officier de haut rang le type de cette classe qu’il veut abolir. Du reste, le général était le chef de cabinet du premier ministre Christian Ntsay, limogé. L’armée veut -elle sauver le soldat Rajoelina comme en 2009 face à Marc Ravalomanana après la chienlit post-électorale ? 16 ans après bis repetita pour TGV ? En tout cas, la Gen Z de 2025 n’a rien à voir avec les manifestants de 2009 composés de politiques et syndicalistes.

Et encore, le Gl Zafisambo va-t-il si négociations il y a, négocier avec la Gen Z étant acéphale et c’est en cela que réside sa faiblesse abyssale car la tabula rasa que la Gen Z professe va être remplacée par quoi ? Qui pour être le Périclès malgache ? Qui même après la satisfaction de leurs désidératas pour résoudre les problèmes de la Grand île hic and nunc ?

En attendant, quelle réaction s’attendre de la Gen Z qui aura compris que Andry Rajoelina veut surtout conserver son fauteuil et du reste, il parle de forces extérieures qui manipuleraient la Gen Z. En tout cas, des velléités de grèves générales et perlées sont déjà brandies par des syndicats et des politiques qui veulent récupérer le mouvement, des jours sombres en perspectives que doit redouter forcément TGV l

La Rédaction

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