Les sénatoriales du samedi 15 février dernier, consacrent la suprématie de l’UNIR, parti présidentiel. En attendant la désignation du tiers restant des sénateurs par le chef de l’Etat, son parti l’UNIR a réédité l’exploit du 29 avril 2024 lors des législatives.
Sans surprise, l’UNIR a engrangé 34 sièges sur les 41 en lice proclamés par Dago Yabré, le président de la CENI, ces résultats provisoires qui doivent être confirmés par la Cour constitutionnelle marque un pas de plus vers l’édification de l’armature institutionnelle du régime parlementaire.
De cette chambre haute, qui comptera 61 sièges, l’UNIR en compte déjà 34 laissant les 7 autres à l’opposition notamment à 3 partis et à 2 Indépendants 1 706 grands électeurs des conseillers régionaux et municipaux avaient eu à choisir parmi les 89 candidats qui ont battu campagne.
Les 20 sénateurs qui seront nommés par le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, compléteront la liste. Sénat et Assemblée nationale désigneront par la suite le nouveau président de la République togolaise, et le président du Conseil des ministres, selon l’esprit et la lettre de la Constitution du 6 mai 2024.
La rédaction


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