L’AES sollicitée à apporter sa part contributive à la mise en branle d’une Force en attente de 5 000 hommes. C’est l’essentiel issu de la réunion des responsables de la défense de l’Afrique de l’Ouest, notamment de la CEDEAO à Abuja.
Le terrorisme n’est pas encore vaincu et si ce sont les 3 pays de l’AES qui sont les plus touchés, les autres de la sous-région ne sont pas épargnés dans une moindre mesure. De l’avis du ministre de la Défense du Nigeria, Mohamed Badaru, chaque Etat de l’AES est invité à donner son quota bien précis. Une approche pour la CEDEAO donc de la CEDEAO à l’égard de l’AES pour dire que l’organisation ne désespère pas de voir ses 3 pays réintégrer la CEDEAO, ou établir des relations les plus apaisées possibles. Ce n’est pas autre chose qui se dégage des propos du président de la Commission, Oumar Touray, qui a affirmé que le Burkina, le Mali et le Niger ne sauraient être exclus de cette Force en attente.
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