Arthur, Betty, Grace et Hermine, quatre (4) rejetons d’Omar Bongo Ondimba tous des quinquagénaires ont été mis en examen en France dans le dossier des biens mal acquis., les BMA, acronyme qui est désormais synonyme de Villas-palais, immeubles , véhicules et autres en occident plus précisément en France et ailleurs.
Ces 4 fils de l’ex-pater-familia du palais du Bord de mer de Libreville sont accusés de s’être appropriés le Legs immobilier du père qui s’élèverait à «au moins 85 millions d’Euros». Outre ces 4, l’actuel président gabonais Ali Bongo Ondima, sa sœur Pascaline sont soupçonnés de s’être emparés du butin du papa, lequel était quasiment la Banque centrale du Gabon pendant des décennies et userait de ce bien public qu’il distribuait à tire-larigot, des libéralités. Certes très bien appréciés, mais qui n’ont pas profité au Gabon et rattrapent les … fils. Même BNP Paribas et 14 autres personnes sont poursuivies dans ces BMA. Bien que l’avocate de la famille Me Elise Arfi dénonce une «insécurité juridique» le dossier datant de 25 ans, les BMA rappellent aux dirigeants actuels leur devoir de bien gérer l’argent du contribuable, et rien ne sert de s’en accaparer avec sa famille, son clan et ses amis, car au final, tous ces sous déposés hors du pays peuvent passés par perte et profit soit par la justice soit même au fil du temps.
La rédaction
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