C’est confirmé maintenant, le 26 février dernier, relativement à la présidence de la CAF, la FIFA avec à sa tête son tout puissant patron Gianni Infantino, a goupillé un plan pour que le poste de président de la CAF échoit au milliardaire de la nation arc-en-ciel Patrice Motsepe. Avec comme 1er vice-président, le Sénégalais Augustin Senghor, 2e vice-président, le Mauritanien Ahmed Yahya et la boucle est bouclée par l’Ivoirien Jacques Anouma.
Si ce dernier a bien assisté à ce cénacle d’arrangement, il trouve la «méthode non démocratique», reconnait que «deux émissaires de la FIFA sont effectivement venus le voir avant », mais déplore ce qui ressemble à «une distribution de postes et ne favorise pas l’unité», a laissé entendre Anouma, lequel attend d’avoir le dernier mot de son président Alassane Ouattara avant de se décider. En attendant, il garde son «libre arbitre». Mais peut-il vraiment quelque chose contre les 3 autres candidats qui ont déjà accepté et surtout face à Infantino ?
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