230 millions d’Américains se sont rendus aux urnes ce 3 novembre, pour élire le président le plus puissant de la planète.
Deux hommes se battent pour cette place : Donald Trump le président sortant, et Joé Biden. Jusqu’à la dernière minute, les sondages donnaient le cornac des démocrates gagnants, même s’il faut se garder de tout verdict jusqu’à la fin, surtout avec cette Floride, un des Etats-bascule par excellence, qui dense toujours la toupille.
L’électorat populaire, les 2 hommes les ont, reste ces swings states, et les surprises de dernière minute. La grande électrice, nommée coronavirus qui s’est invitée à ce scrutin, ne votera pas, c’est certain Trump, dont la gestion de la pandémie a été désavouée, y compris dans son propre camp républicain.
Les frasques du milliardaire qui s’est approprié la Maison blanche, pourraient lui coûter bonbon notamment son fauteuil, et cette perspective horripile Trump, qui déjà lors d’un débat télévisé a laissé entendre, qu’il pourrait se rebiffer contre les résultats, en cas de défaite. Ce sera une première, et l’Amérique pourrait ressembler dans une moindre mesure à la Guinée ou à la Côte d’Ivoire. Des élections avec des résultats non acceptés (Lire page …). Restera-t-il de force à la Maison Blanche dans ce cas ? Comment l’Amérique gérera-t-il ces «cas africains» ? Pourra-t-on éviter les violences, qui se sont déjà dessinées en Pensylvannie ?
La REDACTION
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