Soixante douze heures après son passage à la barre, Ousseni Faïssal Nanéma, l’un des 84 accusés du procès du putsch, a été autorisé à bénéficier d’une mesure de liberté provisoire.
Ainsi donc, depuis hier mardi 27 novembre 2018, celui qui se présente comme le président du comité de soutien au Conseil national pour la démocratie (CND) est accusé dans le dossier du putsch d’avoir organisé avec d’autres jeunes l’incendie et le saccage du domicile du défunt président de l’Assemblée nationale Salif Diallo, et d’avoir recelé des objets volés chez lui. A la barre, Faïssal Nanéma a nié tous ces faits à lui reprochés.
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