Le 11 mars 2025, des allogènes s’en prenaient aux autochtones de Diontala, pendant la célébration du Do. Depuis cette date du 11 mars 2025, c’est du «je t’aime, moi non plus entre allogènes et autochtones». Les prières (Djouma, Ramadan, Tabaski et autres prêches), autrefois dirigées par un allogène, sont désormais sous la direction des autochtones. Pire, des portions de terres qu’exploitaient des autochtones, sont récupérées. Plus rien ne va entre les deux parties qui vivaient en parfaite symbiose. Sans vouloir se rendre, les autochtones attendent que les autorités compétentes punissent comme il se doit, toutes les personnes impliquées dans cette trouble. Dédougou, chef-lieu de la Boucle du Mouhoun, région d’appartenance de Diontala a été touchée par les autochtones. Aux dernières nouvelles, Siriki Sanou, chef suprême des Bobo- Mandarê serait touché aussi. Il serait très remonté contre les allogènes qui se sont opposés à la célébration du Do en faisant des blessés dans le camp des autochtones. Affaire à suivre.
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