Séminaire gouvernemental : Vers la réalisation du PNDES

Séminaire gouvernemental : Vers la réalisation du PNDES

Dans la matinée du lundi 11 mars 2019 à Kosyam, s’est tenu le séminaire gouvernemental sur deux thèmes principaux à savoir : l’organisation du travail gouvernemental et le gouvernement dans ses relations avec le parlement. Les échanges ont tourné autour de l’harmonisation du travail gouvernemental.

Le séminaire gouvernemental s’est tenu hier lundi 11 mars 2019 à Kosyam sur deux thèmes principaux à savoir : l’organisation du travail gouvernemental et le gouvernement dans ses relations avec le parlement. Au cours des échanges, il a été question de l’harmonisation du travail gouvernemental. Pour le secrétaire général du gouvernement Stéphane Sanou, le gouvernement a été recomposé et il faut expliquer aux nouveaux ministres, ce qu’il appelle le rappel sur la responsabilité du gouvernement vis-à-vis du parlement. «On a communiqué pratiquement sur le travail gouvernemental, sur la diplomatie, sur les relations du gouvernement avec les institutions du pays. En très bon enfant, les échanges ont été fructueux», a-t-il laissé entendre. Comment est-ce que cela va induire concrètement dans le travail du gouvernement ? A cette question le secrétaire général du gouvernement répond : «Cela est encore une autre dynamique. Tout ce qu’on veut atteindre, c’est la rapidité dans la réalisation du PNDES et que l’on ait une harmonisation de comment présenter un rapport en Conseil de cabinet et en Conseil des ministres pour qu’il n’y ait pas assez de disparités dans le fond ni dans la forme». A l’entendre, l’intérêt de ce séminaire est la dynamique que l’on veut insuffler au niveau du travail de chaque membre du gouvernement, de chaque ministre. Il indique que cette rencontre n’est pas de trop dans la mesure où elle va permettre un recyclage des anciens ministres et une sorte de formation pour les nouveaux. Par ailleurs, il souligne qu’il y a des petites aspérités entre le gouvernement et le parlement qu’ils ont tenté d’aplanir. Selon lui, c’est le cas où un ministre est interpellé pour aller répondre à des questions orales ou d’actualité. «C e ministre n’étant pas là, si quelqu’un peut le remplacer, on ne savait pas si c’était possible ou pas. On a clarifié cela ensemble et c’est possible».

Omar SALIA

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