A l’occasion de l’Atelier sous régional organisé par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et dont le thème est : «Processus électoraux et crise sécuritaire en Afrique subsaharienne : résilience des organes de gestion des élections», qui se tient du 7 au 9 décembre à Ouagadougou, le président de la Transition par la voix de son ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité (MATDS), le colonel Boukaré Zoungrana a laissé entendre que dans les prochains jours, de concert avec toutes les composantes de la société burkinabè, un calendrier électoral sera arrêté.
Le discours du capitaine lu par le MATDS disait ceci : «l’élection, c’est un moyen et la fin pour notre pays, c’est le retour de la paix, c’est la stabilité politique et institutionnelle. Loin donc de la logique de l’élection à tout prix, il faut travailler pour en faire un moment capital pour relancer nos pays dans la marche du développement».
Ainsi donc, face à l’urgence n°1 qui est la sécurité, le MPSR 2 ne perd pas de vue que la finalité d’une transition est de mettre fin à cette … Transition par l’avènement d’un Etat de droit. Et ce par le truchement d’élections libres, transparentes et inclusives. Le peuple n’en demande pas mieux.
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